5/11/2025
PERSPECTIVES DE MARCHE
1. Environnement économique global
L’économie mondiale évolue dans un contexte de croissance modérée : le taux de croissance global est estimé à 3,0 % pour 2025 et 3,1 % pour 2026. L’inflation est toujours élevée : elle est projetée à 4,2 % en 2025, puis à 3,2 % en 2026. La croissance dans la zone euro reste faible, avec un peu moins de 1 % en 2025. Dans ce contexte, les banques centrales maintiennent des taux d’intérêt élevés pour contenir la pression inflationniste, ce qui pèse sur les investissements et les valorisations financières. Sur les marchés, les rendements obligataires reflètent ce durcissement – tandis que les marchés actions, malgré un certain soutien, apparaissent de plus en plus vulnérables à une correction si le contexte macro se détériore. Face à ces incertitudes, la diversification entre classes d’actifs, la qualité des émetteurs et une vision à long terme demeurent des piliers essentiels d’une gestion patrimoniale avisée.
2. Panorama par régions
États-Unis
La dynamique de croissance pourrait ralentir dans un contexte de droits de douane généralisés et de détérioration du marché du travail et de la confiance des consommateurs.
Zone Euro
Les attentes en matière de croissance sont faibles, et les perspectives sont contrastées, entre reculs à court terme dus aux droits de douane et dynamique à long terme grâce aux mesures de relance budgétaire.
Pays émergents
3. Tendances de marché & valorisation
4. Préconisations d’allocation (horizon 6-12 mois), pour un profil investisseur EQUILIBRE
Voici les recommandations par classe d’actifs, zones ou thèmes :
Monétaire surpondérer (15-25 % du portefeuille).
Obligations souveraines & crédit investment Grade (obligations d’entreprises) : renforcer (25-35 %).
Actions neutre (30-40 %).
Immobilier neutre (10 à 15 %)
Or & matières premières (5 à 10 %)
5. Projet loi de finances 2026 et Projet de Loi du Financement de la sécurité sociale
Au plan comptable, la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, estime que l’ensemble des mesures votées aboutiraient à un déficit de 4,7 % en 2026. Il y a donc « encore de la marge de manœuvre » puisque l’exécutif s’autorise jusqu’à 5 % de déficit, même si quatre taxes (sur les entreprises) ne sont pas rentrées dans le calcul car considérés contraires au droit européen ou inapplicables. Voici celles qui concernent la fiscalité des particuliers.
CDHR reconduite
Les députés ont repris en séance publique certains amendements déjà adoptés en commission des finances, dont la reconduction de la contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR) tant que le déficit public excède 3 % du PIB. Le seuil d’assujettissement a au passage été aligné sur celui de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus (CEHR).
Le barème de l’impôt sur le revenu a été dégelé pour s’aligner sur la prévision d’inflation à 1,1 % pour 2025.
Le plafond du crédit d’impôt pour les services à la personne (Cisap), deuxième dépense fiscale du pays (7,21 Md€ en 2025), a été abaissé de 12 000 à 10 000 euros.
Au rang des mesures ayant fait le plus de bruit, la taxe sur les holdings s’impose immédiatement, la taxe Zucman ayant été écartée. Pour rappel, la copie initiale cible à un taux de 2 % le patrimoine des sociétés françaises ou étrangères de plus de 5 M€ détenu à plus de 33,33 % par une personne physique et dont plus de 50 % des revenus sont « passifs » (hors activité). En séance publique, l’assiette a été recentrée sur les biens somptuaires (détenu dans un seul but fiscal), le seuil de détention à 50 % des droits de vote ou financiers, et le taux d’imposition à 20 %.
Autre mesure polémique, mais maintes fois poussée par le Sénat lors des précédents budgets, la transformation de l’IFI en impôt sur la fortune improductive. Sont inclus les « biens immobiliers non productifs, biens meubles corporels (objets précieux, voitures, yachts, avions, meubles meublants, etc.), actifs numériques, assurance-vie pour les fonds non alloués à l’investissement productif »... autrement dit les fonds en euros. Deux autres amendements supplémentaires ont inclus les biens immobiliers dans l’assiette tout en excluant la résidence principale (dans la limite d’un million d’euros). Le barème progressif est remplacé par un taux unique de 1 % appliqué à la fraction du patrimoine net taxable excédant 1,3 M€.
Le pacte Dutreil fait l’objet d’une retouche suivant la même philosophie, la possibilité d'intégrer des biens personnels dans le champ de l'exonération de droits de mutation étant supprimée. Son bénéfice serait limité à la seule fraction de la valeur vénale des parts ou actions transmises correspondant à des biens affectés à l’activité opérationnelle de la société. La durée de détention minimale des actions transmises dans le cadre du Pacte serait quant à elle rehaussée de quatre à six ans. Par ailleurs, au moins un des donataires doit être âgé entre 18 et 60 ans au jour de la transmission pour que celle-ci soit considérée valable.
Le lifting apporté en commission des finances au régime d’apport-cession prévu à l’article 150-0 B ter a été maintenu : le seuil de réinvestissement minimum des plus-values passe de 60 à 80 % et le délai pour le réaliser de 2 à 5 ans. Plus problématique pour les héritiers, la purge du report d’imposition prévue au décès du titulaire disparait au profit d’une transmission du report aux ayants droit.
Extension de trois à cinq ans de la période de référence à un contribuable de recourir à la fraction non utilisée du plafond de déduction des versements volontaires réalisés sur un plan d’épargne retraite (PER),
Facilitation de la transmission en assurance vie : un amendement autorise à transmettre les primes versées avant le 1er octobre 2025 par les titulaires qui n’avaient pas encore 70 ans mais les auront atteints au 31 décembre 2026. Le plafond est identique à celui prévu pour l’héritage (152 500 € par bénéficiaire).
Réforme portant sur la déductibilité des amortissements dans le dispositif de la location meublée
Augmentation de 1.4 % de la Csg sur les revenus du capital
Ces différents points seront amendés après les passages au Sénat et en commission mixte paritaire, mais le ton est donné !
La gestion de patrimoine comprend également une réflexion sur la structuration de ses placements, l’optimisation des flux et des stocks au regard de la fiscalité et de l’organisation de la transmission de son patrimoine. N’hésitez pas à nous solliciter pour réfléchir aux solutions ensemble : revoir les clauses bénéficiaires de ses contrats, mesurer l’intérêt de mettre en place une sci à l’is, une sarl de famille, modifier son contrat de mariage, préparer la transmission progressive de son patrimoine, protéger son conjoint, …
Nous restons à votre écoute pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, échanger sur les solutions de placements attractives, et les orientations de votre épargne.
Nous vous souhaitons une bonne fin d’année 2025,
Philippe de Guizelin
25/07/2025
PERSPECTIVES DE MARCHE
Environnement économique global
Prévisions de croissance mondiale – 2025 & 2026 (FMI)
|
Région |
2025 (prévision) |
2026 (prévision) |
Commentaire |
|
Monde |
+3,0 % |
+3,1 % |
Croissance modérée, stabilisation progressive après les chocs récents. |
|
États-Unis |
+2,1 % |
+2,0 % |
Atterrissage en douceur, soutien modéré de la consommation. |
|
Zone euro |
+1,2 % |
+1,5 % |
Reprise lente, freinée par la faiblesse de la demande intérieure. |
|
Chine |
+4,5 % |
+4,2 % |
Croissance en décélération, fragilité du secteur immobilier et démographie pesante. |
|
Inde |
+6,8 % |
+6,9 % |
Rythme solide, moteurs domestiques et réformes soutenues. |
|
Émergents (moyenne) |
+4,1 % |
+4,3 % |
Hétérogénéité forte, dépendance aux matières premières et aux capitaux étrangers. |
États-Unis
Europe
Chine
Points de vigilance
LES STRATEGIES DANS CE CONTEXTE
Les classes d’actifs à privilégier sont :
Le monétaire
Adapté pour des placements de trésorerie court terme
Les obligations
Taux : Dans les pays Core de l’Europe, la poursuite du processus de désinflation et du cycle d’assouplissement monétaire de la BCE confortent le positionnement obligataire. Les fondamentaux et le sentiment de marché se sont améliorés dans les pays périphériques de l’Europe, où une légère surpondération est attractive. Aux États-Unis, la duration légèrement longue sur les obligations souveraines constitue une couverture tactique. Il faut demeurer toutefois prudent car les déficits budgétaires et une inflation plus élevée représentent des risques structurels à long terme.
Crédit : Les obligations d’entreprise restent attractives, les craintes de récession mondiale s’étant atténuées.Bien que les niveaux de spreads demeurent bas, les niveaux de rendement offrent encore de bonnes opportunités de portage. D’un point de vue rendement/risque, les obligations Investment Grade et High Yield à duration courte seront privilégiées, car le potentiel de baisse reste limité.
Les actions
Les actions sont la classe d’actifs qui protège le mieux son épargne de l’augmentation des prix sur le long terme
Un positionnement neutre est préconisé. Compte tenu des valorisations relativement élevées et du haut niveau d’incertitude, il convient d’éviter de prendre des risques actifs trop importants. Les hausses de droits de douane et les incertitudes qui les accompagnent pourraient freiner la croissance américaine. Il est préférable d’adopter une légère sous-pondération sur les actions américaines. Il existe à court-terme davantage de potentiel sur le marché européen. Au sein de l’Europe, la zone euro, et plus particulièrement les petites et moyennes capitalisations seront privilégiées.
L’immobilier
Nos convictions :
Solutions de diversification
Solutions de défiscalisation
La gestion de patrimoine comprend également une réflexion sur la structuration de ses placements, l’optimisation des flux et des stocks au regard de la fiscalité et de l’organisation de la transmission de son patrimoine. N’hésitez pas à nous solliciter pour réfléchir aux solutions ensemble : revoir les clauses bénéficiaires de ses contrats, mesurer l’intérêt de mettre en place une sci à l’is, une sarl de famille, modifier son contrat de mariage, préparer la transmission progressive de son patrimoine, protéger son conjoint, …
Nous restons à votre écoute pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, échanger sur les solutions de placements attractives, et les orientations de votre épargne.
Nous vous souhaitons un agréable été,
Philippe de Guizelin
05/11/2024
PERSPECTIVES DE MARCHE
Environnement économique global
États-Unis
Europe
Asie et émergents
Points de vigilance
LES STRATEGIES DANS CE CONTEXTE
Les classes d’actifs à privilégier sont :
Le monétaire
Adapté pour des placements de trésorerie court terme
Les obligations
Les actions
Les actions restent la classe d’actifs qui protège le mieux son épargne de l’augmentation des prix sur le long terme
L’immobilier
Le secteur a été affecté par la remontée des taux d’intérêts :
- Les ménages ont une moindre capacité d’endettement (environ 30% d’entre eux)
- Les rendements locatifs sont concurrencés par les taux obligataires plus rémunérateurs que par le passé
Une correction des prix est en cours depuis début 2023 sur l’ensemble des marchés immobiliers
Une reprise du marché est envisagée plus vraisemblablement pour 2025.
Il est nécessaire d’être prudent avant d’investir, car la fiscalité pourrait évoluer défavorablement selon le projet de loi de finances 2025 voté.
Nos convictions :
Solutions de diversification
Solutions de défiscalisation
Nous restons à votre écoute en cette fin d’année, pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, échanger sur les solutions de placements attractives, et les orientations de votre épargne.
Bien à vous,
Philippe de Guizelin
19/02/2025
PERSPECTIVES DE MARCHE
Environnement économique global
La hausse du PIB mondial devrait s’élever à 3.3 % en 2025 et 2026 contre 3.2 % en 2024.
États-Unis
Europe
Chine
Points de vigilance
LES STRATEGIES DANS CE CONTEXTE
Les classes d’actifs à privilégier sont :
Le monétaire
Adapté pour des placements de trésorerie court terme
Les obligations
Les actions
Les actions sont la classe d’actifs qui protège le mieux son épargne de l’augmentation des prix sur le long terme
L’immobilier
Le marché immobilier semble enfin atteindre son point bas après deux années de chute brutale et vertigineuse. Le volume de transactions de logements anciens en cumul sur les douze derniers mois en France atteint 778 000 transactions, contre 1 200 000 transactions en 2021.
Le secteur a été fortement impacté par la remontée des taux d’intérêts :
- Les ménages ont une moindre capacité d’endettement (environ 30% d’entre eux)
- Les rendements locatifs sont concurrencés par les taux obligataires plus rémunérateurs que par le passé
Il est nécessaire d’être prudent avant d’investir, car la fiscalité pourrait évoluer défavorablement dans un contexte de turbulences géopolitiques, de contraintes budgétaires renforcées et d’instabilité politique. Selon la Banque de France, la baisse du taux d’intérêt moyen des nouveaux crédits à l’habitat, moteur du marché immobilier, se poursuivait encore en janvier, mais la hausse de l’OAT 10 ans pourrait empêcher la poursuite de la baisse des taux et au mieux permettre leur stabilité. Signe de la fragilité ambiante, la confiance des ménages Français se détériore, les craintes étant nombreuses et grandissantes. Ces craintes, endémiques, ne sont pas directement liées au marché immobilier.
Nos convictions :
Solutions de diversification
Solutions de défiscalisation
La gestion de patrimoine comprend également une réflexion sur la structuration de ses placements, l’optimisation des flux et des stocks au regard de la fiscalité et de l’organisation de la transmission de son patrimoine. N’hésitez pas à nous solliciter pour réfléchir aux solutions ensemble : revoir les clauses bénéficiaires de ses contrats, mesurer l’intérêt de mettre en place une sci à l’is, une sarl de famille, une société holding, modifier son contrat de mariage, préparer la transmission progressive de son patrimoine, protéger son conjoint, …
Nous restons à votre écoute pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, échanger sur les solutions de placements attractives, et les orientations de votre épargne.
Bien à vous,
Philippe de Guizelin
31/7/2024
PERSPECTIVES DE MARCHE
Après un mouvement de hausse quasi linéaire pour la plupart des classes d'actifs au premier trimestre, le deuxième trimestre a été plus mitigé. Les marchés financiers semblent en proie à certaines faiblesses, du ralentissement économique aux indicateurs techniques à des niveaux élevés, en passant par des valeurs technologiques moins bien orientées et les incertitudes électorales.
Il est peu probable que la saison des résultats qui s’annonce apporte un quelconque soulagement. Serait-ce le calme avant la tempête ?
La macro-économie montre des signes de faiblesse. Aux États Unis, les tendances récentes indiquent un essoufflement des attentes de croissance, l'indicateur de surprise économique américain passant en territoire négatif. Parallèlement, le taux de chômage américain a atteint 4.1 % franchissant la barre des 4 % pour la première fois depuis la crise du COVID. Historiquement, lorsque cela s'est produit, une hausse rapide du taux de chômage a suivi
En Europe, la baisse significative des indices PMI (manufacturier), le recul de l'indice IFO du climat des affaires en Allemagne et le fort repli des indicateurs de surprise suggèrent que la reprise reste fragile L'incertitude politique en France n'arrange pas les choses.
En outre, les effets des restrictions sur le transport maritime en mer Rouge et dans le canal de Panama se font sentir à l'échelle mondiale. Le commerce international subit d'importantes perturbations en raison de l'augmentation des coûts de frêt et des goulots d’étranglement des chaînes d'approvisionnement. L'impact sur la croissance du PIB mondial ne sera pas négligeable.
Malgré le ralentissement économique en toile de fond, les marchés financiers ont globalement progressé. Ce comportement en apparence contre-intuitif découle du fait qu'un affaiblissement de l'économie renforce les perspectives de baisse des taux par les banques centrales. Tant que la Fed laisse la porte ouverte à une première baisse en septembre, les marchés lui accordent le bénéfice du doute et portent un regard positif sur des données négatives.
Cependant, le risque de déception est élevé si au moins deux baisses de taux n'ont pas lieu avant la fin de l'année 2024. Le scénario de deux baisses de taux reste le scénario central, avec une normalisation de la hausse des prix, une décélération des salaires, et des prix de l'énergie qui évoluent désormais dans une fourchette basse.
La situation est bien différente pour la BCE, la croissance économique restant morose en zone euro et l’inflation poursuivant sa trajectoire vers les 2 %. En ce sens, les mauvaises nouvelles font en effet figure de bonnes nouvelles, dans une logique de poursuite de la baisse des taux.
Le risque politique agit comme un vent contraire. En cette année 2024 où près de la moitié de la population mondiale se rend aux urnes, l'incertitude électorale pèse sur les perspectives économiques et amplifie la probabilité d'un marché plus instable au second semestre Les rebondissements des prochaines élections américaines ne manqueront pas d’agiter les marchés Une victoire de Donald Trump représente un risque pour l'Europe, mais pourrait bénéficier aux actions américaines (petites capitalisations, valeurs cycliques domestiques, banques, technologie, santé, énergie) À l'inverse, les actions européennes et chinoises seraient les perdantes d’un tel scénario, en particulier pour les secteurs orientés vers l'exportation comme l'automobile et les semi-conducteurs.
Une autre question macroéconomique liée à la politique américaine concerne la manière dont l'offre de main-d'oeuvre pourrait être contrainte en cas de remise en question de la politique migratoire.
Les indicateurs techniques sont proches d’un sommet pour les actifs risqués.
Le sentiment de marché actuel reflète un net besoin de nouvelles positives pour maintenir la dynamique d’activité, tandis que toute mauvaise nouvelle pourrait entraîner des baisses plus importantes et généralisées des marchés financiers. Selon une récente enquête mondiale de JP Morgan, seuls 17 % des investisseurs sont susceptibles d'augmenter leur exposition aux actions, contre 34 % il y a trois mois l'un des chiffres les plus bas depuis deux ans.
LES STRATEGIES DANS CE CONTEXTE
Les classes d’actifs à privilégier sont :
Le monétaire
Adapté pour des placements de trésorerie court terme
Les obligations
Les actions
Les actions restent la classe d’actifs qui protège le mieux son épargne de l’augmentation des prix sur le long terme
L’immobilier
Le secteur a été affecté par la remontée des taux d’intérêts :
Une correction des prix est en cours depuis début 2023 sur l’ensemble des marchés immobiliers
Une reprise du marché est envisagée plus vraisemblablement pour 2025.
Il est nécessaire d’être prudent avant d’investir, car la fiscalité pourrait évoluer en fonction des majorités de gouvernement.
Nos convictions :
Solutions de diversification
Solutions de défiscalisation
Nous restons à votre écoute, pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, échanger sur les solutions de placements attractives, et les orientations de votre épargne.
Bien à vous,
Philippe de Guizelin